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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéObligatoires d’ici 2025 dans les agglos de plus de 150 000 âmes, les zones à faibles émissions (ZFE) ont été baptisées par leurs détracteurs « zones à forte exclusion ». Comment les rendre plus accessibles financièrement et socialement ?
Une pause. Face aux difficultés de mise en œuvre des zones à faibles émissions (ZFE-m), le gouvernement temporise. Le 10 juillet, à l’issue d’un comité ministériel, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu a décidé d’assouplir les restrictions de circulation dans les agglomérations où les seuils de pollution ne sont pas dépassés. Seules Paris, Marseille, Lyon, Strasbourg et Rouen vont devoir continuer à durcir les interdictions. A l’origine de ce revirement ? L’épineuse question de l’acceptation sociale des ZFE.
Depuis plusieurs mois, les rapports se succèdent pour rendre ce dispositif – dont nul ne nie l’utilité sanitaire et environnementale – socialement acceptable et ainsi, comme le confie le maire (divers droite) et président de la métropole de Toulouse Jean-Luc Moudenc, coauteur du rapport du comité de concertation nationale installé par le gouvernement en janvier, « éviter une explosion sociale du type Gilets jaunes puissance 10 ».
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