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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLes enjeux de sobriété foncière désarçonnent certains élus attachés à l’industrie. Des premières réponses se font pourtant jour afin de modifier le paradigme du développement industriel et repenser de A à Z les zones d’activité.
D’un côté, le plan France 2030 et ses 54 milliards d’euros destinés à « rattraper le retard industriel français ». De l’autre, la loi « climat et résilience » et son injonction du Zéro artificialisation nette (ZAN) à horizon 2050. En face ? Des élus souvent inquiets par la perspective de devoir diviser par deux le grignotage des sols… « Si la France a vraiment une volonté industrielle, il va falloir qu’elle le démontre. Nous avons plutôt l’impression, pour l’heure, d’une forme de schizophrénie », déplore Patrice Laurent, président (DVG) de la com’com de Lacq-Orthez (52 817 hab.). Et d’illustrer aussitôt le casse-tête sur son bassin industriel se rêvant d’un avenir dans les mobilités décarbonées : « Une centrale photovoltaïque de 50 mégawatts ou encore un méthaniseur pour la production de biogaz ont déjà vu le jour sur des friches que nous avons rachetées à Pechiney. Et un permis de construire vient d’être déposé pour une entreprise qui recycle des aimants, en lien[…]
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