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En ligne avec les objectifs environnementaux du Zéro artificialisation nette, les élus n’en craignent pas moins le périlleux chemin à suivre pour les atteindre.
Tic-tac, tic-tac… Pour les élus, le compte à rebours a démarré le 22 août 2021, avec la prise d’effet de la loi « climat et résilience ». Parmi les 305 articles de ce texte, trois lettres, promises à bouleverser les stratégies foncières des collectivités, pour les décennies à venir : ZAN ou Zéro artificialisation nette. Autrement dit, l’objectif de ne plus artificialiser de sols sans compenser et renaturer par ailleurs. Et ce, à partir de 2050.
Pour y parvenir, le législateur a défini une trajectoire. En plusieurs actes. D’abord, réduire de moitié la consommation d’espaces naturels et forestiers (Enaf) entre 2021 et 2031 par rapport à la période 2011-2021. Puis, poursuivre la diminution, au cours des dix années suivantes, pour parvenir au ZAN entre 2041 et 2051. Soit une « véritable révolution de l’aménagement du territoire », selon les mots de Michel Heinrich, président de la Fédération nationale des schémas de cohérence territoriale (Scot). Aux antipodes en effet, de la culture du maire bâtisseur…
Rareté organisée. Ancien édile[…]
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