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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéIl a le nom d’un bonbon, mais fait surtout grincer des dents… Petite révolution dans l’aménagement du territoire, le ZAN, pour « Zéro artificialisation nette », n’a pas fini de faire parler de lui. Trois décrets d’application, attendus prochainement, sont déjà très critiqués et le principe ne fait pas l’unanimité non plus chez les candidats à l’Elysée...
Le « Zéro artificialisation nette » des sols sèmerait-il soudainement la zizanie au sein des élus ?... Même s’il n’a été entériné qu’en août dernier dans la loi Climat et Résilience, le ZAN ne date pourtant pas d’hier. Ce concept est apparu dans le Plan national biodiversité de 2018 et ressort du principe « éviter, réduire, compenser », bien plus ancien et bien connu des aménageurs. L’objectif est de conserver les terres agricoles et naturelles, car entre 20 000 et 30 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers disparaissent chaque année. Le ZAN vise donc à éviter toute nouvelle imperméabilisation des sols, ou au pire, à la compenser par une « renaturation » équivalente d’espaces artificialisés.
Diviser par 2 la consommation d’espaces dans 10 ans
La loi Climat et Résilience fixe la date de 2050 pour stopper toute artificialisation nette[…]
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