Aéroport, embarquement
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Autant que la jeunesse, les voyages forment incontestablement les élus locaux. Mais dans un environnement budgétairement contraint et très sensibilisé aux abus publics, les déplacements pour raisons d’étude restent-ils un outil à préserver et à quelles conditions ?
Sénateurs dînant à l’Institut Paul Bocuse de Shanghai, conseillers des Pyrénées-Atlantiques confrontant en Argentine les expériences du parc national des Pyrénées et celui des chutes d’Iguazu, jumelages prétextes à de multiples circuits d’agrément…
A l’affût de tout gaspillage public, la presse fustige désormais les déplacements des élus((* Par exemple, dans Capital.)), fourrant dans le même sac de voyage les conventions bidons, les opérations de promotion et les séminaires de formation.
Au point même que certains, tel l’Institut supérieur des élus (ISE), ont « retiré de leur catalogue la visite des institutions européennes de peur de susciter des polémiques », convient le directeur, Jean-Paul Legrand. Pour autant, nombre d’élus locaux restent convaincus que les voyages forment la pensée et la décision. Et continuent donc de régulièrement boucler leurs valises.
Hors frontières, un benchmarking hors pair
« Pourquoi ? Tout simplement parce que[…]
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