Emmanuel Macron répond aux questions de 600 maires normands à Bourgtheroulde (Eure) le 15 janvier 2019
© @Elysee
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
Rencontrant aujourd’hui le Premier ministre, le Garde des Sceaux et le ministre de l’Intérieur, les associations de maires réclament une politique pénale plus dure et plus rapide envers les auteurs de violences contre les élus locaux. Et que ces derniers soient accompagnés financièrement et psychologiquement lorsqu’ils ont été victimes d’agressions.
[Actualisé au 02/09 à 13h50]
Le chiffre est brandi par les associations d'élus : de janvier à juillet 2020, 233 maires ont été agressés en France, contre 198 l'an passé sur la même période, selon des chiffres du ministère de l’Intérieur dévoilés par le JDD. Si toutes ces agressions ne sont pas physiques – agressions verbales et incivilités sont comptabilisées -, la hausse est indéniable et plusieurs cas ont marqué les esprits cet été, un an après la mort violente du maire de Signes, Jean-Mathieu Michel, « coupable » d’avoir voulu empêcher un dépôt sauvage d’ordures sur la voirie.
C’est, depuis, le maire de Portbail, dans la Manche, agressé le 6 août après avoir informé trois campeurs qu’un arrêté municipal leur interdisait d’installer leur tente sur le parking de la plage. C’est le premier magistrat de Saint-Philippe d’Aiguille (Gironde) pris à partie le[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr