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le Courrier des Maires - édition Abonné
Les 2 et 3 octobre 2020, la tempête Alex dévastait les vallées de la Tinée, de La Vésubie et de la Roya dans les Alpes-Maritimes. Les crues torrentielles faisaient dix morts, huit disparus et laissaient l’arrière-pays niçois exsangue. Depuis, reconstruction et culture du risque progressent sur le terrain.
«C’était dantesque ! » témoigne le préfet Xavier Pelletier, saisi par l’ampleur des dégâts lors de sa première visite aux sinistrés en octobre 2020. Ponts éventrés, routes défoncées, maisons détruites : l’arrière-pays niçois a payé un lourd tribut à la tempête Alex. Dix morts, huit disparus et des dégâts estimés à près d’un milliard d’euros. « Les plus gros en France métropolitaine depuis 1945 », précise Jean-Pierre Vassallo, maire de Tende qui, comme ses administrés, a vécu un véritable traumatisme cette nuit-là. « Nous sommes en convalescence », glisse-t-il encore, entre deux souvenirs douloureux.
Rappel des faits : le 30 septembre 2020, Météo France émet un bulletin d’alerte concernant une dépression atlantique qui se dirige vers le sud de la Bretagne. Son nom ? Alex. Les rafales balaient le Morbihan avec des pointes à 186 km/h. En se décalant vers l’est, la tempête – qualifiée de[…]
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