© J.-M. Roignant-Andia
La lutte contre l’insécurité dans l’espace public ne saurait se limiter aux mesures policières. Ni à l’installation de vidéosurveillance, de contrôle d’accès, de séparation des flux. Elle doit se préoccuper de qualité urbaine, celle qui donne envie de sortir, de se promener, de s’arrêter, qui favorise les rencontres, mais interdit à un groupe de s’emparer d’un territoire. L’urbanisme doit créer les conditions de la tranquillité publique.