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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéEnergie, informatique, mobilités, santé, textile…. Certains élus réorientent progressivement leurs politiques d’achat public dans quelques domaines précis, avec une préférence communautaire voire française ou locale à peine dissimulée. Objectif ? Se servir des dizaines de milliards d’euros dépensés chaque année par les collectivités pour mettre le pied à l’étrier d’industriels soucieux de relocaliser leurs productions ou pérenniser les activités écoresponsables et vertueuses déjà implantées à proximité. Une révolution culturelle en somme, devant permettre d'une part de conjuguer leur volonté d’achats plus propres, responsables et utile et, d'autre part, avec les objectifs de réindustrialisation de la France. Une révolution qui ne se fera toutefois pas en un jour, préviennent les élus, conscients du cadre productif et réglementaire particulièrement complexe.
Bis repetita ! Après les lois « Agec », « Climat et résilience », « Croissance verte », « économie circulaire » ou « Lutte contre le gaspillage », le projet de loi « Industrie verte » incite de nouveau les acheteurs publics à se désintoxiquer du sacro-saint « critère-prix ». Depuis près d’une décennie maintenant, les injonctions à mieux acheter, en tenant compte d’objectifs[…]
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