Santé précarité
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Le CCAS de Mèze (Hérault) salarie une infirmière pour accompagner les bénéficiaires du revenu de solidarité active vers l’accès aux soins. De quoi lever un frein qui peut handicaper le retour vers l’emploi. Six communes bénéficient du dispositif.
Constat
Les allocataires du RSA suivis par le CCAS de Mèze, outre leur précarité, étaient souvent isolés socialement, confrontés au mal logement, à des problèmes de santé (cancer, etc.) parfois associés à des difficultés psychologiques ou à une addiction... Une partie de ces personnes, éloignées des soins faute de moyens, n’avaient pas de médecin traitant. Et pouvaient être dans le déni d’une addiction, par exemple. Or, de tels obstacles rendent d’autant plus long et complexe le retour vers une réinsertion professionnelle et sociale.
Objectifs
Le CCAS veut amener les allocataires - qui ont signé un contrat d’engagement réciproque dans le cadre du RSA - vers une démarche de soins. L’idée est de les aider à résoudre les problèmes de santé qui constituent un frein à leur insertion. Leur orientation vers ce service, et le suivi engagé avec un professionnel, va leur permettre de se remettre en contact avec leur réseau médical, sinon à en constituer un.
Moyens
Le CCAS a recruté[…]
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