Jeunes, politique de la ville
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDes collectivités se démènent à l’aune de la crise pour limiter une paupérisation massive des jeunesses populaires. Elles réexaminent leurs politiques, dans l’urgence, pour les faire gagner en efficience. Cette prise de conscience devra être suivie d’une réorganisation des dispositifs municipaux comme intercommunaux pour espérer faire redémarrer l’ascenseur social.
En fragilisant les plus précaires, la crise sanitaire et économique a sorti les porteurs des politiques jeunesse en milieu urbain d’une forme de léthargie. Non pas que rien n’ait été fait jusque-là dans ces territoires, à la population plus jeune que le reste du pays. Mais ces promoteurs d’une approche « transversale », habitués à se casser les dents sur le fonctionnement en silos des autres services, se sont soudainement vus remporter la plupart de leurs arbitrages. Un consensus s’est fait jour, en effet, pour venir en soutien des jeunes étudiants comme de ceux hors de tout circuit d’insertion, habitants ou non d’un quartier prioritaire de la politique de la ville.
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Aides d’urgence
Après avoir abondé les budgets des Crous, banques alimentaires, missions locales et autres CCAS, la[…]
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