© T. Louapre/ Divergence/ le Courrier
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDepuis plusieurs années, collectivités et facs de médecine nouent des partenariats. Au-delà des classiques enjeux d’attractivité liés au CHU local, ce type d’approche est surtout intégré à la politique de lutte contre la désertification médicale. Au programme : promotion puis découverte du territoire, sur fond d’espoirs d’installations futures….
Décembre 1958. Avec la loi « Debré », l’hôpital s’unit à la faculté. C’est la naissance du centre hospitalier universitaire, le CHU. Les grandes collectivités sont incitées à se rapprocher de leur fac de médecine, pour des raisons le plus souvent de « développement » et « de rayonnement » du territoire. Autant de mots encore récemment prononcés par Johanna Rolland, présidente de Nantes métropole où le transfert du futur CHU sur l’île de Nantes est envisagé pour 2027. Un chantier titanesque de 1,2 milliard d’euros qui comprend la faculté de médecine sur une emprise de 10 hectares, cédée par la collectivité au CHU.
Cursus à distance. En attendant, la fac de médecine de Nantes a posé un pied à La Roche-sur-Yon (Vendée), à 70 km de là. C’était en septembre 2020. « Cela faisait longtemps que nous sollicitions l’université pour bénéficier d’une[…]
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