bus, métro, trams : faut-il instaurer la gratuité des transports en commun?
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le Courrier des Maires - édition Abonné
60 % de fréquentation malgré une offre revenue à 95 % de la normale : post-Covid, l’usage des transports en commun et le retour massif de la voiture inquiètent. Aux autorités organisatrices de la mobilité de déployer leur contre-attaque.
L’épidémie et le confinement ont laissé des traces : selon l’enquête réalisée en mai/juin par l’institut d’études MV2, 17 % des sondés n’envisagent pas de reprendre les transports collectifs à court et moyen terme. A la défiance des usagers s’ajoute la tendance durable du télétravail. Le risque est grand que les personnes se précipitent vers leur voiture individuelle : déjà, fin juin, Paris avait retrouvé un de ses pires niveaux de pollution…
Que faire ? « Il faut rassurer les utilisateurs et communiquer sur le fait qu’aucun cluster n’est parti des transports en commun en France ni à l’étranger ! insiste Bruno Gazeau, président de la Fédération nationale des associations d’usagers des transports (Fnaut). Les gens ne restent pas assez longtemps dans les transports. Sans cela, à ce rythme, on risque une réduction de l’offre et, par conséquent, une augmentation des tarifs. » Comment rassurer ? Selon une consultation en ligne lancée par Mulhouse Alsace agglomération en juin, «[…]
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