Sauvée Savula Mbongo, chargée de mission à Loos (à gauche), et Saïd Rahmani, adjoint à Sarcelles (à droite), ont présenté leurs politiques de prévention respectives face à la consommation et aux trafics de drogues.
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLes Français demeurent les plus grands consommateurs de cannabis d’Europe, en dépit d’une législation répressive. Face à ce « constat d’échec », le Forum français pour la sécurité urbaine (FFSU) incite à « sortir de l’approche prohibitionniste ». Ses Assises de la sécurité des territoires, organisées en milieu de semaine dernière à Bordeaux, ont été l’occasion de réfléchir aux moyens de prévenir les addictions et l’entrée dans les trafics.
« Madame Trafic » : c’est ainsi que l’on appelle Sauvée Savula Mbongo à Loos, commune de 23 000 habitants située au sud de Lille (Nord). Un surnom trompeur, car son poste de chargée de mission "Prévention de la participation des jeunes aux trafics de stupéfiants” la désigne plutôt, en réalité, comme une « Madame Anti-trafic ».
Elle anime depuis 2020 une expérimentation baptisée LIMIT’S, pilotée par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca). « C’est une démarche qui prend la consommation et le trafic comme un enjeu de santé publique en luttant contre les conduites à risques et en évitant aux plus jeunes d’y entrer, mais aussi en proposant des actions à ceux qui veulent en sortir », a présenté la fonctionnaire lors des Assises[…]
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