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Tirage au sort : « la représentativité est surtout une affaire de méthodes de travail »

Hugo Soutra
Tirage au sort : « la représentativité est surtout une affaire de méthodes de travail »

Dominique VALCK - Président du C3D

© Conseil de développement durable de la métropole du Grand Nancy

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le Courrier des Maires - édition Abonné

Les gages démocratiques donnés par le gouvernement depuis la clôture du Grand débat national ne font pas l'unanimité. Méfiant vis-à-vis du "marketing participatif", le président du conseil de développement de la métropole de Nancy et co-président de la Coordination nationale des conseils de développement (CNCD), Dominique Valck, accueille circonspect la nouvelle "convention citoyenne sur le climat", même tirée au sort.

La crise des Gilets jaunes aura fait redécouvrir la méthode du tirage au sort aux responsables politiques, nationaux comme locaux. Le gouvernement s'en est d'abord servi pour améliorer la représentativité des "conférences régionales du Grand débat", et y a même un temps pensé pour faciliter l'organisation de "Référendums d'initiative citoyenne" (RIC) locaux. Début juin, le ministre de la transition écologique, François de Rugy, a annoncé qu'il comptait renouveler l'exercice pour composer la future "convention citoyenne sur le climat." Faut-il s'en réjouir ? Dominique Valck, le co-président de la Coordination nationale des conseils de développement (CNCD), en doute.

Avez-vous été surpris par la résurgence du tirage au sort ?

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