Ouvriers, chantier, PME
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAuditionnées le 14 octobre par les députés de la commission du développement durable, les grandes associations d’élus locaux se sont montrées sceptiques quant à la capacité réelle du plan de relance d’irriguer l’ensemble des territoires. En cause, un calendrier précipité et des méthodes trop gourmandes en ingénierie.
Pour relancer l’économie française sérieusement abîmée par la crise sanitaire du Covid-19, le gouvernement et l’Europe ont mis 100 milliards d’euros sur la table. Ce plan volontiers qualifié « d’historique » et lancé le 3 septembre peine pourtant à convaincre les élus locaux qui craignent que les financements ne parviennent pas jusqu’à eux ou plutôt ne parviennent qu’à une partie d’entre eux.
Calendrier trop serré et méthode inopérante
Pour Virginie Carolo, présidente de Caux Seine Agglo et représentante devant les députés de l’Assemblée des Communautés de France (AdCF), la conjonction de plusieurs facteurs concourent aujourd’hui à créer ce sentiment que « les plus petits territoires pourraient passer entre les mailles du filet ». En premier lieu, une forme de « précipitation » dans les appels à projets et appels à manifestation d’intérêt que le gouvernement entend pousser, tel que[…]
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