Elu mystère
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLoin de se limiter à des revendications corporatistes, les droits à la formation et à la reconversion démocratisent l'accès à la fonction d'élu. Des garanties spécifiques ouvriraient le recrutement sur la société civile.
Un élu à leur image, qui maîtrise ses dossiers et sait s'imposer face à l'administration. Il n'est pas forcément retraité et ne fait pas de la politique son métier : c'est le profil type que réclament les Français à la tête de leurs institutions. Une gageure, alors que la fonction requiert de plus en plus d'expertise et que l'Etat accompagne de moins en moins les élus dans leurs projets ? Pas sûr, si le financement de formations par les collectivités territoriales assurait un égal accès aux mandats électifs aux jeunes exerçant en profession libérale, artisan ou agriculteur.
Non-recours
Sous l'égide du palais du Luxembourg et du sénateur (LR) Antoine Lefèvre, du chemin a déjà été parcouru : « La création d'un cadre juridique en 1992 a cassé le monopole des professionnels de l'action publique sur les mandats locaux, et donne théoriquement les moyens à tous les citoyens d'occuper ces fonctions. » Rapidement, le sénateur admet qu'il reste beaucoup à faire en matière de formation des élus. Bien que révisés en[…]
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