Elisabeth Laithier, référente « petite enfance » à l'AMF, et Jean-Christophe Combe, ministre des Solidarités et de l’Autonomie.
© fabien calcavechia
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le Courrier des Maires - édition Abonné
C’était une promesse de campagne du président Macron : offrir aux Français un véritable service public de la petite enfance avec, pour chaque famille, la possibilité d’accéder au mode de garde qui lui convient le mieux en limitant le reste à charge. Aujourd’hui, le calendrier s’accélère, les maires pressant l’Etat d’aller plus vite encore.
Un ministre, des maires … et un grand « oui ». Mercredi 23 novembre, tous les acteurs de la petite enfance, réunis lors d’une table-ronde au Congrès des maires, semblaient s’accorder sur le besoin urgent de trouver des solutions pour les familles qui peinent à trouver un mode de garde pour leurs bébés. Un sujet sociétal qui touche à la question de l’emploi mais aussi à celle de l’égalité femmes-hommes… car dans l’écrasante majorité des cas, ce sont les mères qui arrêtent de travailler pour s’occuper des enfants.
Alors que 70% de l’accueil est aujourd’hui porté par les communes, ce sont donc elles qui seront en première ligne dans cette petite révolution. Autre rare unanimité : tous les acteurs s’accordent à dire que le bon échelon d’action est bien la commune. « C’est pour nous un défi, argue Annick Bouquet, adjointe au maire de Versailles en charge de la petite[…]
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