Phishing, hameçonnage, rançongiciel
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLes collectivités locales seraient-elles devenues une cible de choix pour les pirates informatiques ? En 2020, le site cybermalveillance.gouv.fr a constaté une hausse significative de ces attaques au point de devenir la menace numéro 1 pour les acteurs publics. Afin de se prémunir contre ce genre de raids aux conséquences potentiellement désastreuses, évaluer le danger en amont et solliciter de l’aide quand le virus sévit est impératif.
1- Se sentir concerné quel que soit son statut
C’est un préjugé récurrent contre lequel doivent batailler les agences gouvernementales et les acteurs de la cyber-sécurité : si le risque d’attaque est aujourd’hui de mieux en mieux appréhendé par les grandes collectivités, les plus petites persistent à penser qu’elles ne sont pas (ou moins) concernées. Une erreur certainement due à une mauvaise compréhension de la mécanique très particulière du rançongiciel. Emmanuel Vivé, directeur général de l’Association pour le développement et l’innovation numérique des collectivités (Adico), qui accompagne près de 1500 collectivités comme délégué à la protection des données, décrit des assaillants qui ne visent pas un symbole (une ville) mais bien plus un portefeuille ! « Il ne faut pas imaginer[…]
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