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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéRouages essentiels de nombre de communes, les secrétaires de mairie font actuellement cruellement défaut. Pour rendre le métier plus attractif et susciter des vocations, organismes de formation, élus locaux et associations se mobilisent. Pas simple.
Dans 10 ans, 34 % des secrétaires de mairie recensées en 2017 partiront à la retraite selon les chiffres de la fédération nationale des centres de gestion. Partout déjà, la pénurie se fait sentir. S’exerçant surtout dans des communes rurales de moins de 2 000 habitants, le métier, à 94 % féminin, est dans 62 % des cas à temps partiel. Les secrétaires de mairie cumulent donc souvent deux temps partiels voire plus. D’où des déplacements importants : « Au minimum 60 à 90 km par semaine… », selon Karine Follin, présidente de l’Association nationale des secrétaires de mairies rurales de France (ANSMRF). Une secrétaire employée dans quatre mairies de l’Ariège fait même 1 200 km par mois… Ici, il faut être polyvalent, maîtriser l’administratif, le technique, l’état civil, la comptabilité, les finances locales… avec une législation et un numérique en évolution constante.
1 588 euros mensuels pour 60 % des secrétaires
Il en résulte « une difficulté à trouver[…]
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