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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéSi les élus d’une majorité de grandes villes, stations balnéaires et hivernales se réjouissent de l’actuel retour des touristes, les doutes qui ont été les leurs jusqu’à peu n’ont pas été dissipés pour autant. Entre introspection et modération, tous ou presque cherchent à retrouver la maîtrise de ces flux – au cœur de leur modèle de développement – impactant différents pans de la vie locale. De nouvelles stratégies commencent à se dessiner sur le terrain, visant à étaler l’arrivée des visiteurs – dans l’espace et dans le temps. Si l’avenir de ces destinations continuera probablement de passer par l’économie touristique à court-terme, elles n’ont d’autres choix, que de renforcer l’acceptabilité sociale de ces activités de plus en plus contestées.
De mauvaises langues y verraient des « problèmes de riches ». Comme nombre de grandes villes classées à l’Unesco, Bordeaux, Nice, Paris ou Strasbourg, et à une échelle moindre les châteaux de Chambord ou Versailles, les îles du Ponant, le Mont-Blanc, le Mont-Saint-Michel ou le parc des Calanques, font partie de ces destinations touristiques « marchant toutes seules ». Pas besoin de débourser un centime ou presque dans des campagnes de promotion pour voir les visiteurs affluer ! Sauf que cette[…]
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