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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéL’accompagnement et la prévention de problèmes psychiques concernent également les collectivités locales, qui se mobilisent au travers de l’action sociale, de l’aménagement du territoire ou encore en sensibilisant leurs administrés.
Pour beaucoup de maires, c’est un premier coup de fil des gendarmes ou d’administrés qui les a confrontés à cette réalité. Il faut gérer une urgence et potentiellement arbitrer sur une admission en soins psychiatriques sans consentement (anciennement hospitalisation d’office). « J’avais trouvé ça d’une violence extrême de devoir prendre une telle décision même si ça peut être justifié. A terme, le plus frustrant est de savoir quoi faire lorsqu’il y a un manque de moyens pour trouver un suivi décent », reconnaît Claudie Balcon, maire de Lesneven (Finistère), elle-même impliquée dans une association spécialisée sur le handicap mental.
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