Accueil social des jeunes en errance à Bordeaux
© T.SAMSON / BORDEAUX MÉTROPOLE
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Bien que cela soit une compétence préfectorale, la mairie de Bordeaux agit pour résorber le sans-abrisme. Les diverses mesures se fondent sur une même approche : considérer les SDF comme des Bordelais à part entière faisant face à des difficultés spécifiques. Un projet mené par Harmonie Lecerf, adjointe à l’accès aux droits et aux solidarités de la ville.
En arrivant aux affaires à la mi-2020, la nouvelle équipe municipale bordelaise s’empare de la question du sans-abrisme. Les chiffres font alors état de 3 000 SDF sur la métropole, en squat ou en bidonville. 300 sont littéralement à la rue. Harmonie Lecerf, qui a fait campagne sur les questions de marginalité, hérite logiquement du dossier. « Beaucoup n’appellent plus le 115, constate l’élue, parce que la structure est pleine, que les conditions d’hébergements ne permettent pas d’avoir un chien, ne sont pas adaptées aux populations usagères de drogues ou ne correspondent pas à une partie d’entre eux, jeune et à la rue par inadaptation. » La mairie décide d’agir face à « l’urgence absolue » : « La première étape, c’était de parler de ces personnes comme de Bordelais avec des besoins spécifiques, et comme des citoyens concernés par l’action municipale »,[…]
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