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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAnticipant le vieillissement de la population locale, des élus périurbains et ruraux cherchent à faire advenir des villages inclusifs, tout en s’efforçant de doper en parallèle la mixité intergénérationnelle. Objectif : conserver la vitalité de leurs territoires. Un moyen de conjurer le risque de devenir un village-dortoir, voire même d’accélérer leur revitalisation à travers le développement de nouveaux services, la reprise en main de leurs politiques de l’habitat ou la révision de fond en comble de la gouvernance locale. Exemple à Caumont-sur-Aure, Grand-Champ et Xertigny.
Centres-bourgs, chefs-lieux de cantons et autres communes rurales vieillissent à vue d'œil. Environ un tiers, souvent plus, de la population y est âgée de plus de 60 ans. Et la pyramide des âges y est amenée à croître encore plus vite que la moyenne nationale – de par leur attractivité auprès des aînés originaires des environs, de jeunes retraités provenant parfois de l’extérieur du territoire, mais aussi de la fuite des jeunes diplômés ou de leur solde naturel à la baisse...
Tranchant avec l’immobilisme de certains de leurs homologues donnant l’impression de subir les événements, des élus de communes périurbaines et rurales prennent les devants pour éviter la[…]
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