Le nuage de fumée au-dessus de Rouen après incendie de Lubrizol le 26 septembre 2019.
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLe consensus politique autour de la réindustrialisation ne doit pas faire oublier les risques environnementaux et sanitaires inhérents à ce type d’activités économiques. Face aux intérêts parfois contradictoires de l’Etat, les élus locaux exercent un rôle de vigie.
Explosion de l’usine AZF le 21 septembre 2001 ; incendie de Lubrizol le 26 septembre 2019… Certaines dates provoquent encore des sueurs froides aux élus locaux. Marqués par des événements qu’ils n’avaient, en général, pas vu venir. Voire qu’ils jugeaient impossibles, parce que l’entreprise a toujours été là. Parce que les normes se sont durcies au fil du temps. Parce que les comités annuels de riverains semblaient montrer la bonne volonté de l’industriel… Accueillir sur son territoire une installation classée pour la protection de l’environnement (ICPE), c’est accepter pourtant que le risque zéro n’existe pas. Et donc, qu’il faut s’employer sans relâche à dissiper la menace. En brisant les tabous, en faisant fi de l’omerta et en se mêlant parfois de ce qui ne les regarde pas.
Carences d’Etat. Choquée, à l’instar de ses administrés, par l’épisode Lubrizol survenu deux mois après ses prises de fonction, Charlotte Goujon s’est efforcée[…]
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