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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAvec l’explosion des prix, les travaux de rénovation thermique, hiérarchisés et optimisés, trouvent un intérêt financier renforcé auprès des gestionnaires locaux : la valeur des économies d’énergie dégagées.
Enfin ! Eco énergie tertiaire, dispositif réglementaire issu du décret n° 2019-771 du 23 juillet 2019, est entré en phase opérationnelle. Il impose aux gestionnaires locaux une réduction quantifiée et progressive de leurs consommations d’énergie sur les bâtiments de plus de 1 000 m2. Les bâtiments concernés doivent être recensés au 31 septembre, avec une tolérance jusqu’au 31 décembre 2022. « Pour répondre aux exigences du décret, nous avons évalué, sur la base de l’audit énergétique de notre patrimoine, à 150 millions d’euros l’enveloppe financière nécessaire aux travaux de rénovation », illustre Antoine Colliat, premier adjoint chargé de la transition énergétique à Villeurbanne.
A cette injonction réglementaire s’ajoute l’explosion des factures énergétiques qui pourrait décider les élus locaux à prioriser leurs projets de rénovation thermique.
Chasse aux passoires
Pour Christelle Bonnet, directrice adjointe du département « bâtiments durables » du Cerema, « c’est sans[…]
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