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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéInvités par les ministres de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, et de la Transition écologique, Christophe Béchu, pour le lancement du « plan de restauration écologique des écoles », les représentants de l’Association des maires de France (AMF) sont ressortis mitigés de cette réunion. Malgré certaines « bonnes nouvelles », ils pointent des « flous » concernant la place des maires dans le dispositif qui leur font craindre une potentielle recentralisation.
L’État centralisateur aurait-il encore frappé ? Ce jeudi 14 septembre, des associations d’élus (AMF, Maires ruraux, Départements de France), des représentants de l’Éducation nationale et des professions du bâtiment ont été invités au siège du ministère de la Transition écologique pour participer au lancement du « plan de restauration écologique des écoles ». Annoncé il y a une semaine par le président de la République, ce dispositif ambitionne de rénover 40 000 bâtis scolaires dans les 10 années à venir.
Face aux ministres de l’Éducation nationale et de la Transition énergétique, Delphine Labails, maire de Périgueux, co-présidente de la Commission Éducation de l’AMF et Christian Métairie, maire d’Arcueil, co-président de la Commission Transition écologique de[…]
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