Agnès Firmin Le Bodo prend la parole aux assises des Petites Villes le 1er juin à Millau.
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéL’accès aux soins était au cœur des assises des Petites villes les 1er et 2 juin à Millau. Avec des maires et certains parlementaires soucieux d’une régulation de l’installation des libéraux en faveur des zones sous-dotées, ce dont ne veulent pas entendre parler ni la ministre déléguée à l’organisation territoriale de santé, ni les futurs médecins...
C’est toujours non. Face à la multiplication des déserts médicaux, en ruralité comme dans plusieurs territoires urbains, l’idée de réguler l’installation des médecins libéraux pour favoriser les zones sous-dotées ne fait toujours pas recette chez l’exécutif. « C’est assez clair : le gouvernement est contre toute forme de coercition, de règlementation, de coercition, est venue répéter, comme elle l’avait fait devant les élus intercommunaux en octobre dernier, Agnès Firmin Le Bodo, devant les maires des petites villes réunies pour leurs assises. L’argument de la ministre déléguée à l’Organisation territoriale et des professions de santé ? « Toute forme d’obligation serait délétère pour l’exercice en médecine libérale. Les jeunes nous disent “si vous faites ça, on ne s’installera pas ; pire, on ne pratiquera pas” ».
Dans cette fin de non-recevoir, la[…]
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