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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDe plus en plus de villages et villes moyennes accueillent des demandeurs d’asile et des réfugiés. Par humanisme alors que leur intégration semble facilitée dans les petites communes, mais aussi parfois, potentiellement, par intérêt dans ces territoires disposant généralement de nombreux emplois et logements vacants. Parmi les élus, le sujet fait encore débat.
«Pessat-Villeneuve, son château, son église… et ses réfugiés », titrait le quotidien « Le Monde », cet automne. A l’image de ce village de 670 habitants, la crise migratoire a des échos dans bien d’autres bourgs et villes petites ou moyennes, a priori peu prédestinées à l’accueil de populations exilées – Arras, Autun, Bernay, Bourg-en-Bresse, Cahors, Chalonnes-sur-Loire, La Flèche, Laval, Louvigny, Le Vigan, Sissonne, etc.
Une dizaine de communes rurales de Loire-Atlantique, à l’instar de Saint-Viaud, ont également ouvert les portes de leurs logements vacants pour soulager la voisine nantaise, où des centaines de migrants s’étaient installés dans des campements de fortune. « Nous travaillons avec les agglos de Nantes et Saint-Nazaire pour essayer de partager les richesses de façon plus équitable. Nous devons aussi être capables de partager les responsabilités »,[…]
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