La réforme territoriale lancée début 2014 attend toujours d’être finalisée à travers le projet de loi Notre. Face aux incertitudes qui persistent et à l’ampleur de la tâche certains élus temporisent, quand d’autres accélèrent, voyant dans la réforme une opportunité de s’adapter à de nouvelles réalités.
Voilà des mois que les élus locaux naviguent à vue. Les départements disparaîtront-ils ? Ma région fusionnera-t-elle ? Quelles compétences demain pour ma collectivité ?
Si les réponses tombent au fil des semaines - et des volte-face gouvernementales et parlementaires - les trois volets de la réforme territoriale n’auront pas épargné les nerfs des élus, de surcroît poursuivis par les échéances électorales.
A lire. Les témoignages de Gaëlle Pioline, vice-présidente (PS) de la région Basse-Normandie, maire de Flers (Orne), Hervé Saulignac, président (PS) du Conseil départemental de l’Ardèche, et Marc Fesneau, président (MoDem) de la CC Beauce et Forêt, maire de Marchenoir (Loir-et-Cher).
Pourtant, même si des éléments sensibles du troisième volet de la réforme sont encore en débat au Parlement, il faut bien gérer le quotidien, tenter de se projeter et pouvoir se mettre en mouvement quand, enfin, les lignes[…]
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