Une bonne part des collectivités découvrent le sujet trop tard, après avoir subi une cyberattaque. Pour les autres, en raison de l’apparition récente du sujet, les approches de prévention restent souvent empiriques. Par exemple, les communes de Pessac (62 000 habitants) et de Chartres (39 000 habitants) ont pris l’initiative d’un audit complet de leur système d’information (SI), avec pour objectif d’en identifier les points forts et les points faibles et pouvoir engager ensuite un réel plan d’action. Elles ont utilisé les services du groupe La Poste. Certaines communes, de taille plus modeste, s’appuient sur la cellule cyberattaque de la gendarmerie nationale ; c’est le cas de la mairie du Bono (2 000[…]
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