Carole Delga et plusieurs élus de l’Aveyron et du Tarn font la promotion de l’AOP Roquefort lors d’une visite le 1er mars 2023 au Salon international de l’agriculture à Paris.
© twitter @RoquefortAOP
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLe 11 juin dernier, la présidente d’Occitanie (PS) et de Régions de France exprimait à l’occasion de la Fête du Roquefort son souhait de voir les produits AOP et IGP (appellation d’origine et indication géographique protégées) être exemptés de Nutri-score au nom de la protection des productions du terroir. Une proposition qui ne fait pas consensus, y compris chez les élus locaux, et ce alors que la Commission européenne pourrait se prononcer pour un affichage obligatoire du Nutri-score dans l’Union d’ici la fin de l’année.
Exempter les produits AOP (appellation d’origine protégée) de Nutri-score est-elle une bonne idée ou au contraire pourrait-elle jeter l’opprobre sur nos produits du terroir ? Pour Carole Delga, cela ne fait pas un pli : la présidente d’Occitanie fait un lien direct entre une mauvaise notation au Nutri-score (le roquefort est noté E, la plus mauvaise note) et une érosion possible des ventes qui impacterait in fine les territoires producteurs. « L’ensemble des présidents de Région de France, c’est un portage politique unanime, nous demandons à ce que tous les AOP et les IGP ne soient pas concernés par le Nutri-score qui veut juste enfermer [les produits, ndlr] dans une question de matière grasse » s’est avancée[…]
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