fruits légumes
© Phovoir
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéMalgré la réponse concrète qu’elle apporte aux enjeux de transition écologique et solidaire, l’agriculture biologique rencontre encore de nombreuses résistances sur le terrain, comme l’a mis au jour la campagne des élections municipales.
Alors que toutes les listes se sont dites plus vertes que vertes lors de la campagne des municipales, il va désormais falloir mettre en pratique ces actions pendant la prochaine mandature. Or, la transition écologique passe par une transformation du modèle agricole dominant. Le message des citoyens est clair, privilégiant les fruits et légumes bio dans leurs achats. Mais le pourcentage de surface agricole qui y est consacré reste encore ridiculement bas.
Ce n’est pourtant pas forcément le premier choix qui s’impose, car ni les communes, ni les EPCI n’ont la compétence agricole. « Du coup, pendant longtemps, les collectivités locales ont pensé qu’elles n’avaient aucune possibilité d’agir. En réalité, plusieurs marges de manœuvre existent », explique Antoine Villar, chargé de mission à la Fnab. Eau, biodiversité, climat, santé, alimentation, emploi… Les portes d’entrée sont multiples. La protection des captages d’eau potable en est une. A ce jour, plus de 25 collectivités sont recensées[…]
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