Rivière dans les Cévennes
© Adobe/Florian Villesèche
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Produits d’entretien, cosmétiques, carburants, textiles, pesticides, plastiques... Les micropolluants sont présents partout. Ces molécules chimiques - 100 000 recensées en Europe - sont néfastes pour le vivant (faune, flore, santé humaine), même à très faible dose. Leurs effets sont cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques... Une pollution invisible particulièrement difficile à éliminer.
1- Cartographier et maîtriser les flux de pollutions
Les micropolluants, dont la concentration relève du microgramme ou nanogramme par litre, se retrouve en grande partie dans les milieux aquatiques. Leur élimination constitue un enjeu majeur qui passe par une description rigoureuse de leur présence, de leurs dangers et de leurs impacts sur le vivant. Elle mobilise la chimie, l’hydrologie, l’écotoxicologie et l’écologie. Une des premières actions à mener par une collectivité peut être de cartographier les sources de pollutions pour mieux les connaître. « Pour cela, il est nécessaire de disposer de points de mesure et d’utiliser un système d’information géographique (SIG) comme outil. Ce travail peut permettre également de mettre à jour les autorisations de rejet des eaux usées dans les réseaux d’assainissement collectif », déclare[…]
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