© Flickr-CC-AlternativeLibertaire
Pour lire l'intégralité de cet article, testez gratuitement
le Courrier des Maires - édition Abonné
A la veille de l’examen du projet de loi Immigration, l’Anvita - l’association des « villes et territoires accueillants » - et le groupe écologiste du Sénat ont croisé leurs regards pour faciliter l’intégration des réfugiés et offrir des conditions de vie plus dignes aux exilés. Pour nourrir le prochain débat parlementaire, ils se sont inspirés de la façon dont associations et collectivités accompagnent ce public, sur le terrain – de l’éducation aux soins en passant par le logement –, en substitution d’un Etat qui aurait selon eux perdu de vue les droits humains. Objectif : identifier les freins à lever pour aider toutes les bonnes volontés à faire vivre ce concept de l’accueil inconditionnel.
Menacés de mort alors qu’ils portaient un projet de relance de leur village à travers l’accueil de réfugiés, les élus de Callac (Côtes-d’Armor) ont fini par déclaré forfait, mi-janvier. « Ils ont cédé face aux bassesses de l’extrême-droite, privilégiant la récupération politicienne sur la détresse humaine. Des groupuscules identitaires ont eu tout loisir de s’engouffrer dans le vide béant laissé par l’Etat » ne décolère pas le co-président de l’Anvita, et député européen (EE-LV), Damien Carême. Intervenant lors d’un colloque[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr