A Briançon, l’association Refuges solidaires accueille dans son centre d’hébergement d’urgence les migrants ayant franchi la frontière italienne.
© ANDBZ/ABACA
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéAlors que le texte est annoncé pour l’automne au Parlement et que le sujet de l'immigration était au cœur des dossiers portés par la droite et le RN lors de la rencontre le 30 août avec Emmanuel Macron à Saint-Denis, la répartition des exilés et demandeurs d’asile interroge nombre de maires. Si la plupart acceptent de « prendre leur part », d’autres dénoncent la méthode de l’Etat... et autres imperfections.
Quel rôle les agglomérations et communes françaises doivent-elles jouer dans la politique nationale d’accueil des demandeurs d’asile et des étrangers ? Faute d’une stratégie claire et assumée de la part de l’Etat, la question reste en suspens… au grand dam des élus locaux ayant le sentiment, une fois de plus, d’être la dernière roue du carrosse. Si le débat autour de la « territorialisation » des demandes d’asile n’a cessé de monter en puissance ces dernières années, il aura fallu attendre courant 2021 pour assister à un tournant, avec les premières applications de l’orientation directive (OD).
Algorithme vs personnalisation
Ce dispositif, inspiré de pratiques européennes, vise à desserrer le goulot d’étranglement que constituent Paris et l’Ile-de-France. L’écrasante majorité des arrivants s’y[…]
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