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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLe 7 décembre, les associations d’élus étaient conviées Place Beauvau pour évoquer leurs attentes quant à la nouvelle loi immigration qui doit arriver au Parlement en 2023. Les élus locaux ont notamment plaidé pour une déconcentration du dialogue sur l’accueil des demandeurs d’asile et des réfugiés, un soutien financier pour accueillir les familles avec enfants et un accès plus facile au marché du travail pour les sortir de la pauvreté le temps de l’instruction de leur demande.
Quels sont les enjeux territoriaux présents dans la future loi « Pour contrôler l’immigration et pour améliorer l’intégration » et comment mieux les prendre en compte à l’avenir ? C’est sur ces questions que les élus locaux étaient invités à débattre par la secrétaire d’État à la Citoyenneté, Sonia Backès, début décembre au ministère de l’Intérieur.
Premier des dossiers évoqués en la matière : le délicat accueil des réfugiés. Pour Yvan Lubraneski, maire des Molières (Essonne) qui représentait l’Association des Maires Ruraux de France (AMRF), il est important de s’appuyer sur des exemples récents qui ont fonctionné. « J’ai tenu à expliquer la manière dont on a travaillé dans le département pour l’accueil des réfugiés[…]
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