Michelle Piccoli, maire de Pulnoy (Meurthe-et-Moselle)
© Mairie de Pulnoy
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Densité de travail, manque de sens, d’autonomie, de reconnaissance et de moyens pour réaliser les objectifs… Les conditions et l’organisation actuelles du travail génèrent des risques dits « psychosociaux ». Nuisibles pour la santé des agents autant que pour le bon fonctionnement de la collectivité, ces RPS doivent être identifiés pour être évités et traités. Depuis l’accord-cadre du 22 octobre 2013, chaque employeur public a l’obligation d’élaborer un plan d’évaluation et de prévention de ces risques. Pour Michelle Piccoli, dont la commune de Pulnoy (Meurthe-et-Moselle) s’est lancée dans la démarche fin 2015, les bénéfices sont déjà là.
A quels types de problèmes votre collectivité était-elle confrontée ?
La mairie ayant des plages d’ouverture au public importantes, les agents administratifs assurant l’accueil se plaignaient de ne pas avoir le temps de travailler sur les dossiers. Plus globalement, ils faisaient part de leurs difficultés à assumer la charge de travail, liée à une diminution des effectifs, et à faire face aux exigences de la population.
Comment avez-vous procédé pour réaliser le diagnostic RPS ?
Nous avons remis aux agents un questionnaire sur leurs conditions de travail par filière[…]
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