© Fabien Calcavechia
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLa ruralité, les territoires et leur cohésion ont-ils leur place dans la campagne électorale et les programmes des candidats ? Le géographe et démographe Gérard-François Dumont, professeur émérite à la Sorbonne, livre au Courrier des maires son analyse…très critique.
L’avenir des territoires est-il abordé par les candidats à la présidentielle ?
Gérard-François Dumont : D’abord, dans les grands médias, force est de constater que la question est peu présente. C’est étonnant, car elle a été d’une grande actualité lors du quinquennat, avec les Gilets jaunes, le Grand Débat, les quelques lois territoriales votées, jusqu’à la pandémie de la Covid-19 qui a montré le rôle important des territoires pour organiser la vaccination ou la guerre en Ukraine qui a mis en évidence leur mobilisation première - avant celle de l’Etat - pour l’accueil des réfugiés.
Néanmoins, tous les candidats abordent la question. Il y a une première différence très nette entre ceux qui veulent supprimer les trois lois votées sous le quinquennat Hollande, les lois Maptam, Notre et de délimitation des régions, à savoir les candidats Roussel, Lassalle, Dupont-Aignan, Le Pen ; et ceux qui ne disent rien sur ces lois et n’y touchent donc pas,[…]
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