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Présidence de l’AMF : derrière la bataille des égos, le positionnement de l'association fait débat

Présidence de l’AMF : derrière la bataille des égos, le positionnement de l'association fait débat

David Lisnard et Philippe Laurent

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le Courrier des Maires - édition Abonné

Les 16 et 17 novembre prochains, les maires voteront pour élire le président de leur association censée porter leurs revendications. Entre le maire (LR) de Cannes, David Lisnard, et l'édile (UDI) de Sceaux, Philippe Laurent, la bataille fait rage pour succéder à François Baroin à l'occasion du 103e Congrès des maires. Avec des positionnements qui divergent sur la posture et les rapports que l'AMF doit entretenir avec l'Etat... et les autres associations d'élus locaux.

L’un, nourrissant d’importantes ambitions nationales jusqu'à peu, penserait déjà au « coup d’après » ; la candidature de l’autre, centriste réputé pas assez politique, serait directement téléguidée par l’Elysée… La campagne autour du prochain renouvellement des instances de l’Association des maires de France ne semble pas encore passionner les foules, sur le terrain. Reste qu'elle a bel et bien commencé, et que chaque candidat a déjà eu l’occasion de tailler une veste à son adversaire.

Il serait réducteur, néanmoins, de résumer ce vote à une simple guerre d’égos entre David Lisnard et Philippe Laurent, ou à des petits arrangements entre partis dans la recomposition politique en cours depuis 2017. Au gré des prises de position de l’un et de l’autre,[…]

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