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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéL’île de Bréhat (Côtes-d’Armor) vivait du tourisme jusqu’à la crise sanitaire. Elle ambitionne dorénavant de s’en protéger, alors que les confinements ont fait grimper le nombre de visiteurs au point de décevoir près d’un tiers d’entre eux. Objectif de cette rupture : ne pas écorner l’image de ce joyau, et se donner ainsi les moyens d’y maintenir de la vie les douze mois de l’année.
Pas moins de 6000 visiteurs embarquent chaque jour sur la côte armoricaine, à la saison estivale, pour l’île de Bréhat (362 habitants à l’année, 380 000 visiteurs par an). Contrairement à d’autres îles du Ponant éloignées du continent comme Belle-île ou Ouessant, les vedettes font ici la rotation jusqu’à épuiser la demande. Et, par la même occasion, le seuil de tolérance du maire, Olivier Carré qui tente de modifier à la marge la stratégie touristique locale…
« Après avoir subi les bouchons sur la route, le goulot d’étranglement pour atteindre le parking du port souvent saturé, les gens se moquent de notre code couleur censé les dissuader de traverser en cas de trop forte affluence. Ils se pressent déjeuner sur notre île, quitte à patienter parfois plus d’une heure pour obtenir une place assise dans des restaurants bondés aux serveurs[…]
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