© Nini La Caille
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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéPar souci d’économie au regard de la crise des prix de l’énergie ou par volonté de diminuer la pollution lumineuse, de nombreux maires ont récemment pris un arrêté d’extinction de l’éclairage public sur tout ou partie de leur commune la nuit. Diversement argumentée, la décision ne fait pourtant pas toujours l’unanimité au sein des administrés.
Alors que le prix de l’électricité continue de tutoyer des sommets, les collectivités inquiètes des factures à venir aux montants multipliés par 2, 3 ou 4, tentent de prendre les devants. De toutes tailles, des communes ont décidé d’éteindre l’éclairage public sur leur voirie la nuit. A Bachant (2 291 hab., Nord), ce sera de 23 h à 5 h du matin ; à Val-de-Briey (8 069 hab., Meurthe-et-Moselle) de minuit à 5 h ; à Houlgate (1 711 hab., Calvados) jusqu’à 5 h 45. Certaines ont opté pour une extinction différenciée : de 1 h à 5 h dans toutes les rues de Meylan (17 786 hab., Isère), voire de 23 h à 6 h dans une partie de la commune ; dès 23 h en semaine, mais seulement 2 h du matin le week-end et jusqu’à 6 h à La Flèche (14 858 hab., Sarthe) pour préserver l’éclairage en soirée autour des bars et restaurants. Et puis il y a les jusqu’au-boutistes comme Pont-Croix,[…]
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