Piscine
© Chabanne & Partenaires architectes / photo : Studio Erick Saillet
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Les centres aquatiques constituent des équipements énergivores. Les charges en eau et énergies représentent le quart du budget d’exploitation. Mais en construction ou rénovation, les économies potentielles sont partout !
Un projet réussi l’est dès sa conception. Un projet raté l’est… dès sa conception ! » Bien connue dans le microcosme des concepteurs et des exploitants de centres aquatiques, cette maxime rappelle combien la phase d’étude est cruciale dans ce domaine. D’emblée, la consultante Armelle Merle (AM Sport Conseil) met en garde contre deux écueils. Le premier : « vouloir faire la même chose que le voisin ». « L’équipement doit répondre aux besoins précis de la collectivité, faute de quoi, il atteindra rapidement des limites au niveau de son exploitation. » La seconde erreur ? « Réfléchir en termes de coût d’investissement. Il faut penser global », préconise-t-elle. Autrement dit, investissement et fonctionnement, sur une durée de 15, 20 voire 30 ans. Et pour cause, un tel équipement se caractérise par des coûts d’exploitation annuels compris entre 9 % et 12 % du prix de construction.
Au-delà des RH, les principaux postes de dépenses sont l’eau et les énergies, dont les consommations représentent en[…]
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Cap Natation Reims - 14/04/2021 11h:08
C'est un sacré défi quand on sait à quel point ce genre d'équipement est énergivore.
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