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Piloter les transports, une décision malaisée pour les communautés de communes

Nathalie Da Cruz

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Piloter les transports, une décision malaisée pour les communautés de communes

Bus rural, mobilités

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Beaucoup d’élus des communautés de communes se sont montrés réticents à l’idée d’adopter la compétence mobilité. D’autres ont estimé au contraire que c’était la garantie de déployer de nouvelles offres au plus près des besoins.

Prendra ou prendra pas, la compétence mobilité ? Jusqu’au 30 mars à minuit, les esprits des élus des communautés de communes (CC) ont phosphoré dans toute la France. A l’heure où nous écrivons ces lignes, difficile de savoir combien, parmi les 900 intercos concernées, se sont lancées dans l’aventure.

Car le mot n’est pas trop fort : alors que les métropoles, communautés urbaines (CU) et d’agglomération (CA) disposent de la compétence transports et mobilité de longue date, les CC ne s’en sont jamais chargées, à l’exception d’une centaine d’entre elles ayant déjà pris les devants.

Halte au fatalisme. Depuis 2017, les régions gèrent les transports interurbains (auparavant pilotés par les départements) et sont de venues les cheffes de file des mobilités. Les « com’com » sont passées entre les mailles du filet de cette compétence ; pour leurs élus, une acculturation est nécessaire. « Pendant longtemps, il a été question de “ transports ” ; depuis quelques années, on parle[…]

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