deux élus avec leur écharpe
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le Courrier des Maires - édition Abonné
Plusieurs candidats ayant échoué à remporter la ville-centre lors des dernières municipales, ont réussi malgré tout à décrocher la présidence de l’intercommunalité. Un phénomène qui prend de l'ampleur alors qu'il était déjà possible depuis 2014 et l'après-loi Notre. De Marseille à Commentry, du Rethelois au Cotentin, voyage au pays d’une cohabitation particulière.
Quel est le point commun entre la métropole Marseille-Aix-Provence (Bouches-du-Rhône), les communautés d’agglomération du Cotentin (Manche) et du Grand Guéret (Creuse) et les communautés de communes du Pays rethélois (Ardennes) et Commentry Montmarault Néris communauté (Allier) ? Ces cinq EPCI sont dirigées par un ou une élu(e) ayant perdu aux élections municipales dans la ville-centre.
Cela semblait impensable en 2014 malgré une dizaine de cas avérés il y a six ans comme à Argenteuil- et n’était tout simplement pas possible avant la loi Notre de 2013 qui instaura un suffrage universel par fléchage des conseillers communautaires, concomitant à l’élection municipale. Petit tour d’horizon de cas désormais moins particuliers qu’il n’y paraît.
De la ville à l'interco, le remake de plusieurs duels
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