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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéDepuis les résultats du premier tour de la présidentielle le 10 avril, un constat s’impose : les « vieux » partis (Les Républicains, PS), qui ont longtemps dominé notre vie politique, sont à l’agonie sur la scène hexagonale, terrassés par l’émergence de nouveaux venus, tels En Marche ou La France insoumise… qui eux peinent à s’implanter au niveau local ! Même le Rassemblement national apparait bipolaire : toujours plus conquérant au niveau national mais en échec au niveau territorial… Une étanchéité des votes entre scrutins locaux et nationaux qui pourrait conduire à déconnecter Paris de ses territoires.
Déroute, débâcle, défaite historique… depuis dimanche 10 avril, de nombreux qualificatifs peu glorieux sont désormais accolés aux « anciens » partis qui ont pourtant façonné la Vème République et donné de nombreux présidents à la France. Chez LR et au PS, c’est peu dire que leurs cadres font aujourd’hui grise mine.
D’autant plus que le scénario catastrophe qui se profile pour leurs partis respectifs n’est pas unique dans notre histoire politique récente. En effet, comme le rappelle Benjamin Morel, maître de conférence en droit à l’université Paris 2-Assas, le Parti Communiste et le Parti radical ont déjà vécu cette[…]
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