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Parrainages : comment les « petits » candidats à l'Elysée draguent les « petits » maires

Hugo Soutra

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Parrainages : comment les « petits » candidats à l'Elysée draguent les « petits » maires

Bureau de maire et écharpe tricolore

© Adobe/ catalyseur7

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La plupart des aspirants candidats ont commencé à prospecter la France entière, bien aidés par leurs militants et les nombreux moyens de communication, en quête des 500 parrainages nécessaires pour accéder au premier tour de l’élection présidentielle. Ils guignent sans relâche les signatures de nouveaux élus et rivalisent d'ingéniosité pour capter l'attention des maires. Au point d’en fatiguer d’ores et déjà certains, qui semblent déjà las à moins de quatre mois du scrutin, et d'en convaincre d'autres de ne parrainer... personne. Enquête.

Avant de convaincre nos concitoyens, la trentaine de candidats à la candidature à l’élection présidentielle des 10 et 24 avril 2022 doivent convaincre… au moins 500 maires chacun, issus d’une trentaine de territoires différents. Si le collège des potentiels « parrains » a vu son nombre légèrement croître pour 2022, la plupart des équipes de campagne n'ont pas perdu de temps et se sont mises en ordre de marche dès l’été 2021. Et pour cause : cet obstacle juridique, à surmonter nécessairement pour pouvoir concourir officiellement, est réputé difficile à franchir. Pour les « petits » candidats, notamment, le match présidentiel a d'ores et déjà commencé.

Avant son premier

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