Arbres dans la ville
© Adobe Stock
Pour lire l'intégralité de cet article,
abonnez-vous au Courrier des Maires - édition Abonné
Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéIgnoré lors des travaux urbains, l’arbre est le plus souvent traité comme une variable d’ajustement, aussi bien par les aménageurs que par les urbanistes. Pour mieux le protéger, le barème de l’arbre lui donne une valeur monétaire.
Pourquoi
L’arbre aujourd’hui n’a aucune valeur. Si un mur, une canalisation ou un lampadaire sont endommagés lors de travaux urbains, il est facile d’estimer le coût des dégâts, tant pour les assureurs que pour les tribunaux. Mais pas pour un arbre ! Pour y remédier, un premier outil a été mis au point au niveau national dès les années 80 : le barème d’estimation de la valeur des arbres (Beva). Mais au fil du temps, son application est devenue de plus en plus hétérogène et il présente plusieurs imperfections. « Il se base sur très peu de critères et toutes les villes ne l’appliquent pas de la même manière », explique Augustin Bonnardot, forestier arboriste au conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement de Seine-et-Marne (CAUE 77).
Comment
Le nouveau barème de l’arbre, lancé en septembre 2020 pour améliorer l’outil précédent, résulte d’une initiative commune du CAUE 77, de Plante et cité et de Copalme, association d’arboristes. Il s’appuie sur une[…]
Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous
Déjà abonné ?
Besoin d’aide pour vous connecter ?
Contactez-nous au +33 1 79 06 70 00 (du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30)
ou à l’adresse suivante : abonnement@groupemoniteur.fr