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Pour lire l’intégralité de cet article, tester gratuitement le Courrier des Maires - édition AbonnéLa fusion entre Rocquencourt et Le Chesnay (Yvelines) est sur les rails pour former une commune nouvelle dont le maire de Roccquencourt, Jean-François Peumery, espère bien qu'elle apportera à sa ville de nouvelles perspectives foncières et un assouplissement des pénalités liées aux quotas de la loi SRU.
Qu’attend Rocquencourt de la future commune nouvelle avec Le Chesnay ?
C’est une question de survie. On est étouffé, on ne peut plus embaucher ni remplacer le personnel. Avec une dotation générale de fonctionnement(DGF) négative, nous versons 10 000 euros à l’État et nos 400 000 € de déficit chronique sur le budget de fonctionnement ne laissent que deux années de réserve. Avec l’apport du Chesnay, on bénéficiera d’un certain confort et de services aux habitants. On va mutualiser le personnel et améliorer les services rendus à la population, assez aisée, qui a des exigences. On s’est donné des objectifs ambitieux d’économies.
Qu’apporte votre commune dans la corbeille de mariage ?
D’importantes perspectives foncières alors que celles du Chesnay sont quasi nulles. A Rocquencourt, l’État doit libérer les 12 ha de l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (Inria), appelés à être aménagés. Nos[…]
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