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Municipales : les candidats au défi d'une campagne a minima pour le deuxième tour

Aurélien Hélias

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Municipales : les candidats au défi d'une campagne a minima pour le deuxième tour

Panneaux électoraux à Saint-Lô (Manche)

© CC Xfigpower

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À trois semaines du second tour des municipales, c’est une véritable course contre la montre qui démarre pour les équipes de candidats : comment faire campagne en respectant toutes les restrictions sanitaires et dans une France toujours préoccupée par la crise et ses conséquences économiques et sociales ?

Un deuxième tour de scrutin sans (quasiment) de campagne électorale, lubie ou défi à l’inventivité politique ? A Orléans, Baptiste Chapuis, numéro 3 sur la liste tout juste fusionnée EELV/PS-PCF « Orléans Solidaire Ecologique : le rassemblement de la gauche et des écologistes », le reconnaît volontiers : la tâche risque d’être ardue d'ici au 28 juin. « Normalement, lors des municipales les deux tours se suivent de très près, et il y a une sorte de montée en puissance de la mobilisation sur le premier tour, puis cela s’enchaîne naturellement sur le second… Là, il s’est passé beaucoup de temps – trois mois ! – avec au milieu une crise sanitaire sans précédent. Certaines personnes ne savent même pas que l’on vote le 28 juin ! » déplore le candidat socialiste.

Faire campagne autrement !

Même constat dans l’équipe de campagne de Thomas Cazenave, candidat LREM à Bordeaux (qui vient de réaliser une coalition avec le[…]

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